Dans l’ultime geste d’humilité, les pèlerins font face à un choix,
Tondre ou raccourcir leurs cheveux, une décision qui résonne en eux.
Hommes et femmes, réfléchissent avec révérence,
Prêts à sacrifier une partie de leur beauté, en signe de soumission à Dieu.
Les ciseaux s’activent, les cheveux tombent, avec douceur,
Dans cet acte de renoncement, une transformation intérieure se produit,
Leur chevelure coupée, symbole d’attachement au matériel,
Les pèlerins se libèrent, se purifient, d’un geste solennel.
Dans la foule, pas de distinction, pas de rangs, tous égaux,
La tonte révèle l’essence, au-delà des statuts, des titres, des maux.
Dans cette simplicité, l’humanité se retrouve, unité retrouvée,
Devant Dieu, ils se tiennent, égaux, dans la fraternité.
Certains hommes choisissent de raser complètement leur tête,
D’autres préfèrent raccourcir leurs cheveux, telle est leur quête.
Hommes et femmes, en quête de simplicité, de modestie,
La tonte ou le raccourcissement, un désir de satisfaire la volonté divine.
Les cheveux tombent, emportant avec eux les vanités,
Les pèlerins se délestent du poids des apparences, en vérité.
Dans l’acte de la tonte ou du raccourcissement, ils trouvent la clarté,
Une nouvelle page s’écrit, une renaissance, une pureté.
Ainsi, les pèlerins, dans la tonte ou le raccourcissement des cheveux,
Expriment leur soumission à Dieu, leur adhésion aux valeurs.
Dans la simplicité, ils trouvent la beauté véritable, intérieure,
Un signe de leur engagement, une transformation intemporelle et pure.
