Dans les tourments, un homme égaré,
Séduit par les mirages d’un monde insensé,
Perdit la lumière de sa foi sacrée,
En suivant les chemins de la vanité.
Au sommet des plaisirs, il savoura une vie de délices,
Pensant que bonheur et richesses seraient éternels.
Mais voilà que le malheur frappa à sa porte, sans préavis,
Révélant la fragilité de sa vie éphémère.
Face aux épreuves, sa conscience se réveilla, montrant ses fautes passées,
Sa vie, un jeu d’ombres et de lumières, lui sembla dépourvue de sens,
Dans l’adversité, il chercha la voie vers une paix retrouvée,
Redécouvrant le sens de la foi, renouant avec sa piété.
La voix de son âme en écho chuchota,
Un appel doux et profond, ravivant la flamme en son cœur,
Il se lança dans une introspection sincère,
Cherchant à guérir les blessures de son être.
Guidé par la foi retrouvée, il embrassa l’humilité,
Renonçant aux plaisirs qui l’avaient égaré.
Au service des autres, il dédia ses journées,
Trouvant la vraie richesse dans la générosité partagée.
Le Créateur, dans Sa clémence infinie, l’accueillit,
Son repentir sincère effaça les erreurs du passé.
Guidé par la grâce, il retrouva son âme purifiée,
Un homme renouvelé, en quête de la félicité.
Le pardon de Dieu, une pluie bienfaisante,
Arrosa son cœur assoiffé de remords,
Et dans la paix retrouvée, il se sentit vivant,
Un homme épanoui retrouvé, sur lui la miséricorde divine.
Au seuil du paradis, une lumière éblouissante,
Des jardins célestes et des ruisseaux tant cités dans les versets sacrés,
Son âme émerveillée, il accéda à ce lieu tant espéré,
Un élu béni, vers l’éternité transporté.
Parmi les âmes célestes, il trouva son foyer sacré,
Dans cet éden resplendissant, la béatitude éternelle.
Là où les sourires éternels embrassent chaque âme,
L’homme comblé savoura le ravissement suprême.
Que chacun se souvienne, tel un poème gravé,
L’histoire de l’homme égaré et de son retour béni.
Car dans l’humilité et la foi, la transformation s’épanouit,
Et le pardon de Dieu ouvre les portes du paradis.
